LOUIS WATUM DÉMANTÈLE L’ANARCHIE CHINOISE ET RÉTABLIT L’ORDRE, LA SOUVERAINETÉ ET L’ESPOIR DU PEUPLE CONGOLAIS
Le déplacement du ministre national des Mines, Louis Watum Kabamba, dans le territoire de Watsa, au cœur de la province du Haut-Uélé, a été un moment décisif qui a marqué un tournant sans précédent dans la gouvernance minière en République démocratique du Congo.
Ce ne fut pas une simple visite d’inspection, mais une opération coup de poing orchestrée avec une détermination sans faille, visant à mettre fin à l’exploitation illégale et au pillage des richesses nationales.
Accompagné du Gouverneur, des députés et du Conseil provincial de sécurité, le Ministre a mené une descente de terrain audacieuse qui a abouti au démantèlement d’un réseau de ressortissants chinois se livrant à une exploitation aurifère clandestine et industrielle.
Ces individus opéraient sans le moindre titre minier valide, sans autorisation légale de séjour, violant de manière flagrante le Code minier.
Le site de l’infraction, situé sur la concession de Kibali Gold Mines, a révélé l’ampleur du scandale : des engins lourds travaillaient jour et nuit, creusant le sol congolais et allant jusqu’à aménager leurs propres routes et barrières illicites, contournant délibérément tout contrôle de l’État.
Cette action de Louis Watum Kabamba est une puissante manifestation de souveraineté, prouvant que l’impunité, même pour les acteurs étrangers puissants, a désormais une date de péremption en RDC.
LE BILAN MACABRE DE L’ILLÉGALITÉ – ÉVASION FISCALE MASSIVE, DESTRUCTION ÉCOLOGIQUE ET ESCLAVAGE MODERNE DÉMASQUÉS
Le scandale de Durba met en lumière un triple crime aux conséquences dévastatrices pour le développement congolais.
Sur le plan économique, l’exploitation illégale représentait une hémorragie financière colossale.
Les images saisissantes des cratères béants et des équipements confisqués sont la preuve visuelle que des millions de dollars s’échappaient des caisses de la République par le biais d’une fraude fiscale systémique où aucune taxe n’était versée.
Cette évasion honteuse privait le Trésor public de ressources vitales pour financer les infrastructures et les services sociaux.
Sur le plan environnemental, l’exploitation industrielle sauvage était menée sans le moindre respect de l’environnement, laissant derrière elle des paysages dévastés.
Mais c’est sur le plan humain que l’horreur atteint son paroxysme : des travailleurs congolais étaient soumis à des conditions de labeur proches de l’esclavage moderne.
Face à ce tableau sombre, la réponse du ministre Louis Watum Kabamba fut d’une fermeté exemplaire : il a ordonné l’arrestation immédiate des auteurs, la saisie de tous les engins et l’arrêt total des activités. Cette action, saluée par toutes les autorités locales, réaffirme que la protection des vies et des ressources nationales est la boussole inébranlable du gouvernement.
LE NOUVEAU CONTRAT MORAL – LOUIS WATUM TRACE LA LIGNE ROUGE DE L’IMPUNITÉ ET POSITIONNE LE SECTEUR MINIER AU SERVICE DU PEUPLE
L’opération menée à Durba est bien plus qu’un simple acte de police ponctuel ; elle est l’établissement d’un nouveau contrat moral entre l’État et le secteur minier.
En martelant publiquement que “L’exploitation minière doit profiter au peuple congolais, pas aux hors-la-loi”, le ministre Louis Watum Kabamba a tracé une ligne rouge infranchissable pour tous les opérateurs, qu’ils soient locaux ou étrangers.
Le message est d’une clarté absolue : “La loi s’applique à tous, sans exception”.
Cette action marque une rupture définitive avec l’ère de l’anarchie minière et de l’impunité qui a trop longtemps permis le pillage des richesses du sous-sol. L’objectif ultime est clair : faire du secteur minier un véritable moteur de développement durable au service exclusif de la population congolaise.
Pour que cette victoire ne soit pas éphémère, le défi qui attend désormais le Ministre est de transformer cet élan en une réforme systémique. Il doit désormais consolider son action en engageant un durcissement des peines contre les crimes miniers et en créant des mécanismes de surveillance permanents, garantissant ainsi que la souveraineté de l’État ne soit plus jamais bafouée sur son propre territoire.
David MUTEBA KADIMA