MAIXENT RAOUL OMINGA DÉFIE L’INERTIE ET LANCE L’ÂGE D’OR DE L’EXCELLENCE ÉDUCATIVE
- Le Phénix de Talangaï a matérialisé l’ambition du Chef d’État en 120 jours.
L’inauguration, le 24 octobre, par le président Denis Sassou N’Guesso, du complexe scolaire de la Liberté à Talangaï (sixième arrondissement de Brazzaville) n’est pas un simple événement de rentrée : c’est la démonstration éclatante d’une volonté politique transformée en performance technique record.
Le ministre Jean-Luc Moutou a eu la charge d’annoncer les chiffres vertigineux de cet établissement public ressuscité de l’ancien CEG créé en 1985 : 6.637 élèves, dont 3.411 filles, feront leur rentrée 2025-2026 dans ce nouveau joyau.
Le complexe est une véritable cité éducative, intégrant deux écoles préscolaires, six écoles primaires, deux collèges, et un lycée d’enseignement général (qui n’accueillera que les secondes pour cette première année), le tout sur une superficie impressionnante de 30.000 m², comprenant 85 salles de classe réparties dans vingt-quatre bâtiments modernes, dont douze de type R+1.
L’impact social est immédiat et massif, non seulement par sa capacité d’accueil de 10.000 élèves, qui contribuera à désengorger des établissements saturés comme le lycée Thomas Sankara, mais aussi par le recrutement massif de 405 agents, dont de nombreux fonctionnaires.
Ce projet, financé par la Société Nationale des Pétroles du Congo (SNPC), est une concrétisation spectaculaire de la politique de responsabilité sociétale de l’entreprise, pilotée de main de maître par son directeur général, Maixent Raoul Ominga.
Ce dernier a prouvé, en seulement quatre mois, que le sérieux et la détermination peuvent transformer des rêves d’infrastructures en réalités tangibles, faisant de cette réalisation la preuve vivante de la volonté du gouvernement de favoriser l’égalité des chances et de renforcer l’investissement dans le capital humain.
LE “SYNDROME DE LA ROUILLE” – L’AVERTISSEMENT FRATERNEL QUI PÈSE SUR LE MINISTRE ET LA SNPC
Alors que les éloges fusent pour le Président Denis Sassou N’Guesso et pour la SNPC pour avoir livré un complexe que d’aucuns considèrent comme le premier du genre à “dépasser les écoles laissées par les colons”, une voix lucide s’est élevée, transformant les félicitations en interpellation civique majeure.
Le souci exprimé par un compatriote interrogé, qui a insisté sur l’importance cruciale du suivi et de la maintenance, soulève une question fondamentale de la gouvernance et de la mentalité congolaise : le “syndrome de la rouille”.
Ce syndrome se manifeste par la dégradation rapide de biens publics neufs et prestigieux, comme l’ont malheureusement connu des infrastructures telles que l’hôpital de Loandjili, le lycée d’excellence de Mbounda, le stade de la Concorde ou le viaduc.
L’interrogation est posée avec une acuité désarmante : un plan de maintenance a-t-il été mis en place avant l’inauguration ?
Si la réponse est négative, le joyau risque, “dans 3 ans”, de rejoindre la liste des monuments à l’abandon.
Cet avertissement fraternel confère désormais au ministre Jean-Luc Moutou et au directeur général Maixent Raoul Ominga une responsabilité historique non seulement d’avoir construit, mais de pérenniser cette œuvre.
La réussite de l’investissement dans le capital humain ne se mesurera pas seulement au nombre d’élèves accueillis, mais à la capacité des Congolais à préserver collectivement et avec discipline ce lieu de fierté pour les générations futures, un véritable test d’éducation civique des adultes et de gestion patrimoniale.
L’EFFET TACHE D’HUILE – L’ANNONCE MAJEURE DE LA RÉPLICATION DU MODÈLE À BACONGO ET MAKÉLÉKÉLÉ
S’inscrivant dans la vision présidentielle qui accorde une place centrale au développement du capital humain et de la jeunesse, le directeur général de la SNPC, Maixent Raoul Ominga, a transformé l’inauguration du complexe de la Liberté en rampe de lancement pour une nouvelle vague d’investissements.
Il a officiellement annoncé que des infrastructures scolaires identiques et à l’identique seront construites dans les prochains jours dans d’autres arrondissements majeurs de Brazzaville : Bacongo et Makélékélé.
Cette annonce spectaculaire confirme que la reconstruction totale de l’ancien CEG de la Liberté n’est pas un coup d’éclat isolé, mais le modèle d’un nouveau standard d’excellence que la SNPC, dans le cadre de sa politique de responsabilité sociétale, s’engage à répliquer en étroite collaboration avec le gouvernement.
Maixent Raoul Ominga a souligné que ces complexes sont destinés à devenir de hauts lieux d’excellence, du savoir et de la connaissance, du vivre-ensemble, insistant sur le fait que l’école est un vecteur essentiel de l’éducation morale et intellectuelle.
Enfin, s’adressant directement aux élèves, il leur a confié la mission ultime : les connaissances, les valeurs, les compétences que vous allez acquérir ici feront de vous les architectes de l’avenir du Congo.
Ce message de responsabilisation, adressé aux élèves, aux enseignants, et aux parents, fait du complexe scolaire de la Liberté bien plus qu’une école : c’est désormais le symbole vivant d’un partenariat réussi entre l’État, l’entreprise publique et la communauté, et un tremplin vers un avenir où l’excellence est la norme, et non l’exception.